Agir contre le viol

Pour mener la campagne « Viol : la honte doit changer de camp », plusieurs outils :

– en diffusant la campagne sur les réseaux sociaux et sur internet

L’objectif est qu’un maximum de personnes se rendent sur le site http://www.contreleviol.olf.site et signent la pétition. Vous pouvez rejoindre la Page Facebook et suivre le compte sur Twitter.

– en faisant circuler les clips vidéos réalisés par Patric Jean et Frédérique Pollet pour soutenir la campagne.

Clip n°1, au bureau > Clip n°2, dans l’immeuble > Clip n°3, à la maison

> Diffusez le film complet de la campagne (Durée : 1 mn 42)

– en diffusant des flyers et des affiches de la campagne autour de vous.

– en organisant une rencontre dans votre ville autour de la question du viol.

Organiser des soirées discussions est un élément clé pour atteindre cet objectif. Lors des soirées discussions, vous contribuerez à lever le tabou, à remettre en cause les idées reçues qui sont nombreuses sur le viol, et vous pourrez inciter les personnes présentes à passer à l’action : individuellement, parce que vous aurez libéré la parole ; collectivement parce que la campagne défend aussi des revendications précises sur le viol et qu’elle s’appuie pour cela sur une pétition à faire signer par le plus grand nombre. Vous pouvez organiser une projection-discussion ou une table ronde.

 

– Agir face à un viol :

Pour être aidée, tout en gardant l’anonymat, vous pouvez appeler la permanence téléphonique : Viols Femmes Informations 0 800 05 95 95 du lundi au vendredi de 10 à 19 heures, appel gratuit pour toute la France, y compris les DOM/TOM. Si une femme vous confie avoir été violée, vous pouvez lui dire :

– Je crois ce que vous me dites vous êtes très courageuse de m’avoir parlé.

– L’agresseur n’avait pas le droit de vous contraindre.

– Le viol est un crime et son auteur est seul responsable de cet acte, vous n’y êtes pour rien.

– Vous avez raison de faire valoir vos droits, je vais vous aider à trouver de l’aide.

>> Si le viol est très récent, le plus urgent est d’appeler la police : 17.